Svoghe
Le projet hydraulique de Svoghe se compose de cinq centrales hydroélectriques (Lakatnik+ Opletnia + Prokopanik + Svrajen + Tserovo) qui sont situées le long d'un tronçon de 33 km de la rivière Iskar dans la municipalité de Svoghe.
Elles sont de type "au fil de l'eau" et comprennent un déversoir en béton et un petit lac en amont du barrage, une station, un canal de fuite et une passe à poissons.
Toutes les centrales sont équipées de turbines Kaplan de type horizontal. La plupart des barrages ont une hauteur de 7 à 8 mètres, le plus grand ayant une hauteur d'environ 11 mètres.
L'eau circule dans les turbines pour produire de l'énergie électrique qui est ensuite injectée dans le réseau électrique.
Les centrales hydroélectriques ont une capacité totale installée de 15.5 MW.
Lors du rachat du projet Svoghe, Akuo s’est investi non seulement dans le rachat d’actifs mais également dans la conservation des opérateurs locaux qui travaillaient auparavant dans la centrale.
Ce sont au total 13 personnes réparties sur l’opération et la maintenance des centrales, mais aussi la gestion administrative de celles-ci. Nos équipes sont composées d’un tiers de femmes.
Leur expertise et expérience du projet a permis à Akuo de rendre ce projet performant.
Nos engagements RSE
Akuo en tant que producteur d’énergies renouvelables ancrées dans les territoires, met un point d’honneur à la conservation des territoires dans lesquels il développe des centrales.
C’est la raison pour laquelle la centrale hydraulique de Svoghe comprend un passage à poissons, permettant de produire de l’électricité tout en préservant la biodiversité présente.
Concrètement des grilles ont été installées sur les centrales électriques, qui empêchent les gros poissons d'entrer dans les turbines. Les passes à poissons sont d'une nouvelle génération, construites comme des ruisseaux de montagne.
Chaque année, une équipe de la faculté de biologie de l'Université de Sofia surveille les populations de poissons dans les zones proches de nos centrales hydroélectriques. Les rapports nous permettent d’objectiver et de mesurer une amélioration continue de la biodiversité piscicole.